El mensaje de austeridad defendido en los últimos dos años por las autoridades europeas se moderará. Los líderes de los países de la unión europea (ue) reconocen que los continuos recortes no están dando los resultados esperados. El objetivo es seguir con las reformas y recortes pero al mismo tiempo, estimular la economía donde sea posible
España defiende esta postura ante las consecuencias de seguir con una política de defensa a ultranza de austeridad alegan que existe el riesgo de que Europa se aleje del crecimiento y de que "los ciudadanos se alejen de Europa". No osbtante, hay que recordar que españa es uno de los países más interesados en que esta tendencia se relaje
En este sentido, está previsto que la comisión europea (ce) flexibilice los objetivos de défciit de la economía nacional, así como los de Francia, Portugal y holanda. Además, bruselas se ha mostrado partidaria esta semana de progresar "más rápido" en medidas que estimulen el crecimiento
2 Comentarios:
Tanto recorte que no esta dando resultado para nada, al contrario esta dando pie a mas paro y mas miseria, esto del mercado comun no funciona, politica para cuatro incluidos los bancos y los que cortan el bacalao y los demas que nos parta un rayo, no funciona y de momento hay muchos paises del llamado mercado comun que estan sufriendo las consecuencias de esta nefasta situacion.
Como en tiempos franquistas, hay que leer de afuera para enterarse de la verdad!!!
"La dette publique espagnole a enregistré un nouveau record en finissant l'année 2012 à 84,1% du PIB. Elle a bondi de 6,8 points sur le seul quatrième trimestre. Le gouvernement espagnol s'attend à ce que la dette grimpe encore à 90,5% du PIB d'ici la fin de l'année.
La dette publique de l'Espagne a fortement progressé au cours du dernier trimestre 2012, établissant un nouveau record à 84,1% du PIB, un niveau préoccupant du fait des taux d'intérêt élevés auxquels le pays emprunte sur les marchés.
La dette espagnole a augmenté de 14,8 points de pourcentage au cours de l'année 2012, dont 6,8 points sur le seul quatrième trimestre, une hausse attribuable tant à l'administration centrale qu'aux 17 régions autonomes, a annoncé ce vendredi la Banque d'Espagne.
Ce niveau, largement au-dessus de la limite fixée par le Pacte de stabilité de l'Union européenne (60%), ressort toutefois en deçà de la prévision du gouvernement, qui tablait sur un endettement de 85,3% à fin décembre.
Les chiffres publiés vendredi, qui sont ceux pris en compte par l'UE dans le cadre de la procédure pour déficit excessif, ne tiennent pas compte du prêt européen de 41,3 milliards d'euros au secteur bancaire espagnol.
Selon les chiffres de la Banque d'Espagne, la dette de l'administration centrale (Etat et Sécurité sociale) atteignait 72,3% du PIB à la fin de l'année dernière, contre 58,5% un an auparavant.
Dans les régions autonomes
Les 17 régions autonomes, dont plusieurs sont source d'inquiétudes pour les marchés en raison de leur fragilité financière, totalisent une dette de 17,6% du PIB, contre 13,3% fin 2011 et 15,8% à fin septembre 2012. Le reste de la dette publique espagnole provient des municipalités, qui affichent une dette égale à 4% du PIB, contre 3,3% un an plus tôt.
Le gouvernement prévoit que la dette publique grimpe encore en 2013, pour atteindre 90,5% du PIB."
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