Informe sociedad de tasación: la vivienda nueva ha caído ya un 10,9% y seguirá bajando

Han subido en 10 años lo de veinte, se ha construiido en 10 años lo de 20, el resultado no puede ser otro.

Deflacion deflacion, deflacion te kieroooooo. Lalall lalalla lalal lalal, delflacion te kierooooooooo

Informe de idealista sobre Madrid, página 12.
Gráfico de variación trimestral del precio: ¿Punto de inflexión?
Gráfico de evolución trimestral del precio: ¿Estabilización de los precios?

La realidad es que todo está parado en este momento. La segundamano está parada y no se construye nueva vivienda (se vende la que hay). Los precios comienzan a estabilizarse, a la espera de noticias de economía (nº De parados, bancos, Euribor, otras economias) en un sentido y en otro. El que propietario de segundamano que le acuciaba vender porque no podía pagar la cuota de la hipoteca tan alta, ya no tiene la prisa de vender, y por eso no se mueve en cuanto al precio. Y las promotoras que están sobreviviendo, han paralizado los proyectos de nueva construcción, y lo que venden ya lo han rebajado hasta un precio que no pierdan dinero. El que quiere comprar, no lo hace por dos razones: una porque está esperando un supuesto desplome del precio más allá del actual, o dos porque no encuentra banco o caja que le conceda la hipoteca. Los que sí tienen financiación están comprando lo poco que se compra. Lo más inteligente es que si alguien puede comprar en este momento compre, puesto que intentar saber si el precio va a bajar más o va a comenzar a subir levemente no lo sabe nadie. Y creo que el que puede comprar está comprando en este momento.

En una vivienda de cien mil euros poco hay que rascar, en las viviendas de lujo y gran lujo es donde se ven los grandes rebajas, consulten los portales inmobiliarios

La grande braderie des maisons neuves n'a pas commencé. pourtant le stock est énorme. Le ministère du logement, qui vient de rendre son premier rapport sur le sujet, considère que le stock ne comprend que les logements vides et construits, soit 613 000.

Mais à cela s'ajoutent 626 691 biens encore en construction, dont 242 641 (38 %) seraient déjà vendus. Du coup, pour de nombreux experts, on avoisinerait le million de maisons à vendre.

L'espagne est-elle à l'heure de la crise ou de la reprise ? telle est la question
La banque bbva parle même de 1,2 million. Sans compter que " le stock continue à s'accroître puisque des logements mettent deux ans à se construire. Nombre de travaux ont démarré avant la crise", fait remarquer mayte ledo, économiste en chef des scénarios économiques et financiers de bbva. On voit bien quelques salons immobiliers tenter d'écouler une belle quantité de maisons, à grand renfort d'offres alléchantes, comme au dernier salon low cost de barcelone. Mais il faut reconnaître que pour l'instant la machine à vendre est grippée.

"50 % de ce stock était nécessaire, le reste était dû à la spéculation, la situation est donc complexe. La clé réside dans les prix et leur baisse", estime Manuel romera, directeur du département financier de ie business school. Force est de constater que, jusqu'ici, les prix résistent. Rien à voir avec la situation des etats-unis où ils ont déjà chuté de 40 % à 60 %. L'importance de la culture et de la mentalité de propriétaire en espagne explique cette "résistance"...

Les premiers à donner le signal d'une diminution sont pour l'instant les banques, qui ont récupéré une partie des stocks immobiliers que l'on a du mal à évaluer précisément. "Ce qu'ont récupéré les banques est assez faible : la majorité des logements reste entre les mains des promoteurs", estime mayte ledo, à bbva.

Baisse de 10 % en 2010

Manuel romera se risque à un chiffre : les banques posséderaient de 15 à 20 milliards d'euros de logements sur les 1 000 milliards que compte l'espagne, autrement dit une goutte d'eau dans l'océan de la crise immobilière que connaît le pays. Pressentant une longue récession, les banques s'organisent pour gérer le parc de logements surcapacitaire, créent des filiales, embauchent des équipes...

Une solution passerait par la location. Un marché qui peine à se développer dans ce pays propriétaire à 84 %. Des mesures basées sur des déductions d'impôts, tant pour le locataire que le propriétaire, existent déjà, mais depuis trop peu de temps pour juger de leur efficacité. quant à la décision du gouvernement de supprimer dès 2011 la déduction fiscale pour un achat locatif, "cela ne va pas provoquer plus de demande mais devrait éviter au moins son blocage", espère mayte ledo.

Du côté du ministère espagnol du logement, on compte beaucoup sur le plan 2009-2012 pour favoriser la conversion du parc en logements sociaux, à vendre ou à louer. "Aujourd'hui, les acheteurs tiennent le manche ; les promoteurs le savent, ils baissent leurs prix, le secteur ne peut pas laisser passer cette occasion", assure la ministre, qui a répondu par écrit aux questions du monde. Mais le chemin est encore long pour revenir à des stocks traditionnels de 300 000 logements.

Pour l'heure, la baisse n'est pas significative. "Les mécanismes existent mais l'ajustement des prix ne s'est pas réellement encore activé", affirme mayte ledo. Selon Manuel galindo, président de l'association des promoteurs espagnols, la baisse des prix dans le neuf a démarré au troisième trimestre 2008 et atteint 6,8 %, en rythme annuel, au premier trimestre 2009. Le bbva calcule que les baisses devraient atteindre 10 % en 2010, 12 % en 2011, et arriver à une chute cumulée de 30 % fin 2011.

Mais tous les logements ne seront pas faciles à vendre. Le spécialiste en immobilier jones lang lasalle estime que 10 % de l'excédent du parc espagnol sera presque invendable. Selon le rapport du ministère du logement, la moitié des 613 000 maisons terminées se trouve sur le littoral méditerranéen, et 30 % d'entre elles sont plutôt à qualifier de résidences secondaires. "Ces logements se trouvent dans des endroits sans services de base ou de proximité : ni centres de santé, ni kiosques, ni boulangerie, ni connexions de transport. On ne peut pas appeler cela un foyer", déclare la ministre. - ( Intérim.)

- Otra ocurrencia de la zapaterología, hacer en garoña un parador para asumir a los desempleados de la central nuclear. Si esto se pone de moda, en cheliabinsk 6 se harán de oro con el turismo radioactivo. Tu riete...pero existen visitas quiadas a chernobyl :d