El Euribor alcanza el 4,5%

El problema, monik, es que no todos tienen el gran lujo de poseer una vivienda en propiedad, como es tu caso. Qué obsesión en estar en el bando de los que no han comprado. Parece un complejo de peter burbupan.

Hablando de alquiler en mi caso aun mas evidente: 1300€ De alquiler para un piso que vale 700 000 € (3d, 120 m2) . De hecho, en esta zona (conde de orgaz, campo de las naciones) hasta hace poco los precios de alquiler no subian. Ahora si. Es que la diferencia es tan abismal que poco a poco la gente se da cuenta. Pagar 1300 € De alquiler para estar en una zona buena de Madrid, por el mismo importe de letra, estaría viviendo en un piso similar a 20 km de Madrid, y lo mas probable al sur

Locura inmobiliaria en Europa del este. Articulo de Boursorama. Le marché immobilier en plein boom en Europe de l'Est Vue de Prague © AFP/Archives Michal Cizek Jusqu'à 3.500 euros le m2 en haut de gamme au centre de Bratislava, 4.000 à budapest, 4.500 à prague ou 5.000 à varsovie, le marché de l'immobilier flambe dans les capitales est-européennes, les investisseurs étrangers affluent et les familles s'exilent en banlieue en s'endettant pour se loger. Signe des temps, même les "panelaks", ces blocs gris construits par le régime communiste dans les banlieues tchèques, deviennent des produits recherchés: en cinq ans, le prix d'un 60m2 à "jizni Mesto", vaste ensemble du sud de Prague, a quasiment doublé à 2, 2 millions de couronnes (environ 80.000 euros). "La demande a beaucoup augmenté car ces appartements restent abordables pour ceux qui n'ont pas de hauts revenus", explique Robert Persein, de l'agence Cesko-Moravska. Et certains n'hésitent pas à s'endetter pour 30 ou 40 ans, comme le dit Pavel Kuhn, de la banque Ceska Sporitelna. Même tendance dans les banlieues de Vilnius, où le prix des appartements a bondi de 40-65% en 2005. Globalement, en 2005, le marché a pris 40% en Lituanie, 55% en Lettonie et 28% en Estonie, selon la banque balte DnB Nord. La fièvre immobilière est tout aussi forte à bucarest, où la valeur des maisons a triplé en cinq ans et où nombreux sont ceux qui s'improvisent agent immobilier, selon Felicia Nitu, de la société bourse valeurs immobilières. Varsovie a connu l'an dernier la hausse la plus spectaculaire, avec + 50% sur les prix qui ont atteint en moyenne 1.935 euros/m2 (7.354 zlotys), selon l'agence RedNet. La tendance est identique dans d'autres grandes villes de Pologne, notamment la très touristique Cracovie. Appartements en construction près de Varna sur les bords de la Mer Noire en 2006 AFP/Archives Valentina Petrova
Partout, tous les secteurs, neuf, ancien, immobilier de bureau, logements, résidentiel de loisir, sont à la hausse. Au point qu'à prague et surtout à riga, on parle de "bulle immobilière". "La folie immobilière qui règne depuis quelques années, et qui ressemble pour moi à une fête en temps de peste, ne peut pas durer toujours", s'inquiète à riga le président de l'Association immobilière lettone, edgars Sins. En Bulgarie comme ailleurs, les prix ont commencé à grimper avant l'intégration dans l'Union européenne. La hausse a débuté en 2006, "la demande est restée forte en 2007, avec + 15-20% sur les prix depuis le début de l'année", explique Teodora Dimovade, de l'agence ERA. "Il se passe maintenant en République tchèque ce qui s'est produit après l'entrée dans l'Union européenne de l'Italie, de l'Espagne, de l'Irlande ou du Portugal", analyse en écho une étude du groupe "Czech Real Estate Market" qui évoque avec gourmandise une valorisation de 500% sur huit ans pour certains produits.

Conséquence, l'accès à la propriété devient un rêve coûteux pour les habitants des anciens pays communistes: à bratislava, le m2 coûte en moyenne 1.500 euros, soit trois mois de salaire moyen, selon les chiffres de la Banque nationale slovaque. "Je n'arrive pas à acheter, tout est trop cher", se plaint Samuel Kubani, un jeune célibataire en quête d'un studio au centre-ville. Et cela ne risque pas de s'arranger puisque la Slovaquie a été repérée par l'édition 2007 du "Global Property Guide" comme le prochain "point chaud" des investisseurs mondiaux. De façon générale, depuis l'élargissement de l'UE, les pays de l'Est figurent en tête de liste des conseils en investissements immobiliers, surtout quand, comme en Slovaquie, on y conjugue prix bas, croissance économique vigoureuse et fiscalité favorable. Phénomène nouveau, les Britanniques et les Irlandais commencent à explorer les stations de ski slovaques, en quête d'une résidence secondaire ou, plus prosaïquement, d'un bon placement. En Bulgarie, les investissements immobiliers étrangers ont déjà plus que triplé à 1, 3 md EUR entre 2005 et 2006, principalement du fait de l'afflux des retraités britanniques. En Roumanie, la région balnéaire de Constanta, sur la mer Noire, attire, outre les Britanniques, des acheteurs espagnols, italiens et français. En Estonie, le prix des maisons de campagne, fussent-elles de vieilles fermes délabrées, a été multiplié par 60 en dix ans. Et les agences locales, fortes de leur expérience en matière de marché émergent, se lancent désormais à la conquête de la Roumanie et la Bulgarie.

Fin del articulo del periodico canadiense. Si que idealista se moja bastante más cuando habla a periodicos extranjeros! El señor encinar añade" Madrid es un buen indicador de lo que va a pasar en el resto del país, lo que supone que los precios en España van a empezar a bajar antes del fin de 2008 Madrid tend à être un bon indicateur de ce qui va se passer dans le reste du pays, ce qui fait que les prix partout en Espagne vont probablement commencer à fléchir avant la fin de 2008, ajoute-t-il. Les banques ont prêté 250 milliards d’Euros aux promoteurs espagnols l’An dernier, soit huit fois plus qu’En 1988, et 134, 3 milliards d’Euros aux compagnies de construction, indiquent des données compilées par la Banque d’Espagne. Les banques ont aussi prêté 544 milliards d’Euros aux propriétaires de maison, soit quatre fois plus que la valeur des hypothèques en 1998. Les défauts de paiement des prêts hypothécaires en Espagne ont été les plus élevés en au moins quatre ans au cours du premier trimestre de cette année, selon une analyse de Standard & Poor’S.

Hace unos días, me impactó un graffiti en una pared: 'si votar fuera importante, estaría prohibido’. Resulta difícil encontrar una frase más adecuada para definir la esencia de esa entelequia a la que denominamos creditocracia. El google me indica que la frase ha sido creada en Canarias, donde el desencanto político originado por el triángulo, tan vicioso como oblicuángulo, pSOE-PP-CC ha hecho estragos entre las mentes libres del estrés euriboriano.vEncantado de poder volver a la fiesta. Un saludo para todos.

Leo mucha prensa, escucho radios y veo televisiones . Sobretodo catalanas, aunque también de otras zonas. Por lo que respecta al precio de los pisos hay de todo, cosa sorprendente . Que aun suben, que bajan, que se mantienen, curioso. Que los precios ya no suben como antes parece claro.

Lo que se puede hacer es esperar. Ahora es lo mejor. Conozco el tema de cerca, y la cosa está muerta. Con la cantidad de viviendas vacías que hay -esas que se compraron para invertir- el final de la historia interminable se acerca. No tengas prisa, alquila, o vive en casa con tus padres si puedes; ahorra, incluso invierte en letras del tesoro, que ahora son muy rentables. No se vende nada: en mi zona, en el interior de Valencia, absolutamente nada, hasta el punto que cierran inmobiliarias con diferencia de un mes en los pueblos de la comarca. En cuanto a los tipos de interés, eso de que han crecido todo lo que tenían que crecer no te lo creas. Ya en este foro se ha comentado muchas veces que el tipo de interés de equilibrio se encuentra en el 6% . Y hasta llegar a él queda mucho dolor. No dudes que llegará, por un simple principio económico, que enuncia que los tipos de interés se tienen que subir en las épocas buenas, para poder activar la economía en las épocas malas: es como cargar la escopeta para poder disparar después. Los hipotecados, mientras tanto, las van a pasar canutas. Embargos, paro, venta a precio de saldo, y perdiendo hasta la camisa. Ese va a ser su futuro, por desgracia. Pero que reclamen a aquellos del lema de "España va bien" o de aquel otro que decía "la gente compra casas caras porque puede, porque la economía va bien".

Buenos días, “La gente antes quema el piso que rebajarlo”. ¿Y la deuda también?, ¿Verdad? “Esos porcentajes que algunos poneis de 30% o 50% eso es imposible.” Pregúntele a los subasteros a que precio puede llegar un inmueble embargado en serie o mismamente mire la evolución de la vivienda en Japón. En algunos casos un 50% se puede quedar hasta corto.
De todas formas no se equivoque, en caso de recesión a muy poca gente le va a interesar la compra de ladrillos, solo a los que hayan ahorrado y tengan cash y estén por la labor. Este no es un foro para las lecciones de palieconomistas

Buenos días Dr. Knife, es un placer encontrarte por aquí. acabas de dar una estocada en uno de los "memes" de la línea defensiva "nuncabajista". Tras el desmitificado de "la vivienda nunca baja" y "alquilar es tirar el dinero", llega el turno de echar abajo el mito "la gente antes quema el piso que rebajarlo". El histerismo junto con el miedo, y una pizca del niño que se tapa los oídos tras tirar las cacerolas por la noche en la cocina, la gente tiene una facilidad pasmosa para defender, a machaca martillo, lo que quiere creerse (escape de la realidad) . Esto conllevará un empacho de palos financieros a diestro y siniestro, por nuestro carácter avaricioso-rumiante. Siquiera por ánimo didáctico/constructivo, ruego que los que tengáis o vayáis a tener hijos, por favor, considerad la posibilidad de educarlos desde el análisis crítico, junto con el método científico. El grado de manipulación de la población es aterrador.